Algérie : Le cri de détresse de l'athlète Larbi Bouraâda

Larbi Bouraâda

Plus de trois ans après les Jeux olympiques de Rio, le décathlonien algérien, Larbi Bouraâda, semble condamné à revivre le même calvaire durant sa préparation sportive pour le grand rendez-vous de la discipline qui aura lieu l'été prochain à Tokyo.

L’athlète de 31 ans a en effet lancé un nouveau cri de détresse vendredi 27 décembre 2019, après s'être vu refuser l'accès au stade olympique du 5-Juillet-1962 à Alger. « Très difficile de prétendre à une préparation qui vise un podium Olympique au Décathlon de Tokyo, quand on a même pas accès à la seule piste du complexe olympique du 5 juillet, sous prétexte qu’on vient de poser le gazon. Retour au goudron du complexe », a-t-il indiqué dans une publication sur son compte Facebook.

Ce n'est pas la première fois que le natif de Souk-Ahras se retrouve dans pareille situation. Il a eu droit à une préparation désastreuse pour les Jeux olympiques de Rio, au Brésil. D'ailleurs, Larbi Bouraâda avait alors décidé de prendre l'opinion publique à témoin en partageant des images de ses conditions de travail sur les réseaux sociaux.

« J’arrêterai après les Jeux Olympiques de 2020 »

En fait, la prochaine édition des Jeux olympiques d'été sera la dernière compétition à laquelle prendra part le recordman africain. « J’ai décidé de tirer ma révérence après les prochains JO de 2020. Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont aidé et soutenu dans les moments difficiles », a également annoncé le cinquième à l'épreuve du décathlon aux derniers Jeux de Rio.

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