L’ancien footballeur algérien Ali Bencheikh est, depuis mercredi 19 mai, au centre d'une vive polémique sur les réseaux sociaux. En effet, dans des vidéos largement relayées sur Facebook, certains citoyens accusent le fils du consultant de la chaîne sportive El Heddaf TV de louer un studio sis à Alger à des individus douteux, provoquant la colère et l'indignation des riverains.
Le nom de l’ancien international algérien Ali Bencheikh est associé à une polémique alimentée sur de nombreuses pages Facebook en Algérie. Depuis la soirée de mercredi 19 mai, plusieurs vidéos sont relayées sur les réseaux sociaux pour « dénoncer » le fils de l’ancien joueur du MC Alger. On y voit plusieurs habitants d'un quartier situé à Alger-Centre regroupés devant un immeuble.
Filmant un petit studio situé au rez-de-chaussée de l'immeuble, les habitants du quartier ont soutenu que c'était un garage appartenant au fils de Ali Bencheikh aménagé et transformé en studio. Les mêmes personnes accusent le fils de l'ancien international algérien d'avoir transformé son studio en « lieu de débauche ».
« Le fils de Ali Bencheikh loue le studio à des "couples célibataires" »
Selon eux, le propriétaire loue l'appartement, depuis 5 ans, à des « couples non mariés », et parfois à des mineurs, à des prix allant de 5 000 à 8 000 dinars. « Parfois jusqu'à 4 couples viennent ici en une journée », a soutenu un des voisins. Ce qui a provoqué la colère des habitants du quartier qui ont, selon les intervenants dans les vidéos, interpellé Ali Bencheikh à maintes reprises, mais ce dernier leur aurait répondu que les gens qui venaient faisaient partie de la famille du footballeur.
Chose qu'ont démentie les habitants du quartier, dont certains ont affirmé posséder des preuves que les couples qui venaient dans ce studio étaient des étrangers. D'ailleurs, au moment de l'enregistrement de la vidéo, les voisins ont bloqué la porte de l'appartement, où se trouvait, selon leurs dires, un jeune couple à l'intérieur. Ils auraient même contacté les services de police pour constater cela. Pour sa part, Ali Bencheikh, présent sur place, n'a pas voulu s'exprimer à ce sujet, préférant laisser les services de sécurité faire leur travail.
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