Voici les objectifs fixés par la FAF à Djamel Belmadi

Djamel Belmadi - Equipe d'Algérie - Fennecs

Après un long silence, la Fédération algérienne de football (FAF) a enfin fait signer son contrat au sélectionneur national Djamel Belmadi qui a subi des critiques acerbes ces dernières semaines, notamment de la part du journaliste de BeIN Sport Hafid Derradji, qui est allé jusqu'à dire que Belmadi devait partir.

Désormais, toutes les palabres autour de l'avenir de Djamel Belmadi ont fini par s'arrêter depuis que le président de la FAF, Djahid Zfizef, a confirmé le renouvèlement du contrat du sélectionneur des Fennecs. Dans un entretien accordé, vendredi 6 janvier, à la chaine III de la radio nationale, le président de la FAF a précisé que le nouveau contrat de Belmadi court jusqu'en 2026, sans plus de détails.

Mais selon le site spécialisé Foot Algérie, l'Instance footballistique algérienne a fixé deux objectifs intermédiaires, en plus de la qualification à la Coupe du monde 2026 qui aura lieu, pour la première fois dans l'histoire du tournoi planétaire, dans trois pays différents, en l'occurrence le Canada, les États-Unis et le Mexique. Avec une autre première, celle de la participation de 48 nations au lieu de 32 habituellement.

Djamel Belmadi : Des objectifs pour la CAN 2023 et la CAN 2025

En effet, la Fédération algérienne a fixé le cap de la demi-finale de la CAN 2023 (qui aura lieu en Côte d'Ivoire en janvier 2024) pour Djamel Belmadi et son staff. Aussi, les Fennecs, sous la houlette du meilleur entraineur d'Afrique 2019, sont appelés à atteindre la finale de la CAN 2025 qui pourrait se tenir en Algérie, après que la Confédération africaine de football l'eut retiré à la Guinée. Rappelons que l'Algérie est candidate pour accueillir cette édition de la CAN en compagnie d'autres pays dont le Maroc et l'Afrique du Sud.

Enfin, dans son intervention sur les ondes de la chaine III, le président de la FAF a tenu à faire taire les voix qui utilisent le salaire de Djamel Belmadi pour participer à la campagne de dénigrement dont il a été la cible. « Son salaire ? Il n’est ni sous-payé ni trop payé. Il a le salaire qu’il mérite », a asséné Djahid Zfizef sans manquer de défendre le sélectionneur national face à la vague de critiques qu'il a subies.

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