Un avion de Transavia en provenance du Maroc immobilisé et isolé à Orly : Voici la raison

Un avion de la compagnie aérienne française Transavia, en provenance du Maroc et plus exactement d’Agadir, a été isolé et immobilisé le dimanche 11 août au niveau de l’aéroport de Paris Orly, pour une raison liée à la sécurité.

Petite alerte, dimanche 11 août à l’aéroport de Paris Orly. Les forces de l’ordre ont été, en effet, appelées à intervenir suite à une menace signalée à bord d’un avion de Transavia assurant un vol au départ d’Agadir.

L’alerte a été donnée par un membre de l’équipage, soupçonnant la présence d’une menace à bord de l’avion. Prenant l’avertissement très au sérieux, des gendarmes ont été déployés au niveau de l’aéroport parisien attendant l’arrivée du vol.

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À son atterrissage, l’appareil de la low cost d’Air France-KLM s’est retrouvé encerclé par les gendarmes qui l’ont ensuite isolé sur une piste avant de l’immobiliser. Les gendarmes ont, par ailleurs, passé au peigne fin l’avion qui transportait 153 passagers en plus de 6 membres de l’équipage, précise Actu Paris qui a rapporté l’information.

La même source souligne qu’après un contrôle approfondi aucun objet pouvant constituer une menace n'a été trouvé à bord. Plus de peur que de mal donc. La même source, citant des responsables de Transavia et  l’aéroport val-de-marnais, indique qu’il s’agissait d’une fausse alerte, lancée par un membre de l’équipage après avoir repéré un appareil à bord de l’avion pouvant constituer un danger sur le vol.

Voici la raison de l'incident à bord du vol de Transavia

« Un membre de l’équipage a constaté que l’appellation (le nom donné par l’utilisateur et que l’on voit en Bluetooth) d’un appareil électronique utilisé à bord, appartenant à un passager, pouvait être interprétée comme une menace à la sécurité », a expliqué Transavia. Un voyageur mineur, qui avait nommé son Bluetooth « engin explosif improvisé », a été interpellé et mis en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie des transports aériens.

La compagnie aérienne a déclaré que « le vol s’est par la suite déroulé sans incident ». Après une attente dont la durée n’a pas été déterminée, les occupants de l’avion ont été autorisés à quitter les lieux.

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