La Cour criminelle départementale de Saintes, dans le sud-ouest de la France, a rendu son verdict dans une affaire de viol impliquant un Algérien. Nassim Mendjel, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a été condamné à une peine de 11 ans de réclusion, assortie d'une interdiction de territoire français.
Les faits, révélés par le site régional Charente Libre, décrivent une scène choquante survenue le 23 mai 2021. Ce jour-là, Nassim Mendjel accompagné d'un complice, s'est rendu chez un marchand de Jonzac dans le but de récupérer une dette de 7000 euros, liée à un trafic de stupéfiants. Face à l'absence du débiteur, ils ont décidé de se rendre au domicile de sa compagne, qui habite, pas loin du commerce.
La jeune femme, victime malheureuse de cette affaire, a été confrontée à une situation terrifiante lorsque l'accusé l'a menacée avec une arme à feu. L'accusé lui a demandé d'appeler son compagnon au téléphone et de lui demander de venir. Face à l'absence de réponse, l'Algérien décide de passer à l'action d'une manière brutale.
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Un Algérien auteur d'un viol sous la menace d'une arme
La procédure d'enquête a révélé des détails terrifiants de l'agression. L'accusé aurait forcé la victime à se déshabiller tout en la filmant sous la contrainte de l'arme à feu. Ce qui aurait dû être une simple dette à régler, s'est transformé en un acte brutal de viol, laissant la jeune femme profondément traumatisée.
Interpellé rapidement suite à la plainte de la victime, le ressortissant algérien a changé plusieurs fois ses déclarations devant la police, avant de finalement reconnaître les faits de viol. Durant le procès, il a avoué que ce crime odieux était motivé par une dette de stupéfiants : "Je lui ai dit qu'on était quitte," a-t-il admis, selon l'acte d'accusation. Incarcéré depuis juillet 2021, le mis en cause purgera le reste de sa peine en prison. Il a toutefois le droit de faire appel de la décision devant la cour.
