Belkacem, l'Algérien de 80 ans accusé de viol et d'attentat à la pudeur par un membre de sa famille, en Belgique, a décidé de donner sa version des faits, rapporte le média belge Sudinfo. Pour rappel, la présumée victime n'est autre que la fiancée de son petit-fils.
D'après la même source, l’octogénaire algérien, qui a été présenté pour la première fois de sa vie devant un tribunal, a avoué avoir touché les seins et les parties intimes de la fiancée de son petit-fils. Mais, pour sa défense, il déclare que c'est la victime présumée qui lui "tournait autour". Les avocats du senior algérien soutiennent que la jeune femme s'est rapproché de leur client pour "obtenir des papiers".
L’histoire remonte à 2018, lorsque Zakia, la fiancée du petit-fils de Belkacem, s’est rendue en Belgique pour s’installer avec sa belle-famille. La jeune femme accuse l’octogénaire de l’avoir "tripotée" une première fois dans la voiture. Par la suite, il lui aurait "caressé le sexe et les seins" et pratiqué sur elle "une pénétration digitale dans la salle de bains". S'il n'est pas consenti, ce dernier acte est considéré comme un viol par la loi belge.
Rappelons que le ressortissant algérien a comparu, vendredi 25 septembre, devant le tribunal de Charleroi, dans le sud de la Belgique. Il est accusé de viol et d'atteinte à la pudeur sur la fiancée de son petit-fils. Lors de son procès, trois ans de prison ferme ont été requis contre lui. Mais selon le média belge La Meuse, il ne risque qu'un simple sursis.
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