Un Algérien interpellé pour menaces avec un cutter et aux cris d'Allah Akbar

Le 18e arrondissement de Paris, en France, a connu de graves évènements cette semaine. Après l'épisode de la guerre des gangs menée par des ressortissants afghans, un autre épisode a été enregistré dans lequel un Algérien était impliqué, selon un journaliste du site d'extrême droite Valeurs Actuelles qui aurait assisté par hasard à son interpellation par des éléments de la police.

En effet, un Algérien dont l'identité n'a pas été révélée alors que sa photo a été rendue publique sur la plateforme X, par le journaliste lui-même, a menacé une femme avec un cutter, et ce, en criant Allah Akbar et en mimant le geste de l'égorgement (en passant son pouce au niveau du cou). La scène s'est déroulée, mardi 3 septembre, non loin du square de la Cité de la Chapelle, à quelques mètres de l'avenue Max Dormoy et du métro La Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris.

C'est la femme elle-même qui a appelé la police pour signaler les menaces de l'individu que quatre éléments de la police dépêchés sur les lieux ont interpellé vers 11h30. Il venait de menacer une femme en répétant Allah Akbar à plusieurs reprises. Les membres de l'équipage de la police ont immobilisé l'Algérien sur le trottoir, et ce, sans aucune résistance de sa part.

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L'Algérien n'a opposé aucune résistance au moment de son interpellation

Selon le compte rendu du même média, l'individu s'est mis à psalmodier des paroles en langue étrangère (probablement des versets coraniques en arabe), tout en fermant les yeux à demi. Et en plaçant ses mains sous les aisselles, comme s'il était dans un état second. Les policiers l'ont menotté puis l'ont embarqué dans leur véhicule afin de le mettre en garde à vue.

Des sources policières ont fait savoir au média que l'agresseur était un ressortissant algérien, mais n'ont donné aucun autre détail sur cette affaire de menaces ni des informations sur la victime présumée. Pourtant, le journaliste affirme qu'il avait pu obtenir des détails de l'affaire en écoutant le major de la police dicter les faits dans sa radio auprès de sa chaîne de commandement.


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