À Paris, un Algérien viole une femme après s'être introduit chez elle par la fenêtre

Drapeau Algérie, tour Eiffel et fenêtre

Un Algérien a été arrêté la semaine dernière par la police pour viol d'une femme, chez elle, à Paris. Âgé de 22 ans, il s'est introduit par la fenêtre pour cambrioler l'appartement de la victime. Il l'a agressée sous la menace d'un couteau avant de la violer et de prendre la fuite. Il avait ensuite été rapidement identifié et interpellé par les forces de l'ordre.

Les faits se seraient déroulés boulevard de Charonne à Paris, le mardi 8 août, tôt le matin. Une femme, âgée de 47 ans, gardienne d'immeuble de son état, a laissé entrouverte une fenêtre de son appartement au rez-de-chaussée qui donne sur la cour intérieure de l'immeuble pour permettre à ses chats d'aller et venir.

Vers 4 heures du matin, elle est réveillée par des bruits qui viennent du salon. Elle se lève et tombe nez à nez avec un jeune homme qui fouille son appartement, rapporte Le Parisien.

L'individu sort alors un couteau et réclame de l'argent à la propriétaire de la maison. Il continue à chercher des objets de valeur durant quelques secondes avant de se rapprocher de la femme, de lui mettre un couteau derrière l'oreille et de lui imposer des caresses avant de la violer. Une fois son acte assouvi, le violeur ordonne à sa victime d'aller prendre une douche. Profitant de l'occasion, la quadragénaire ouvre la porte et appelle ses voisins au secours.

L'auteur du viol est un SDF algérien de 22 ans

Paniqué, l'agresseur s'échappe par la fenêtre non sans laisser sur les lieux un sac contenant les objets volés et quelques effets personnels, notamment des smartphones. L'exploitation des caméras de surveillance de la rue et du métro permet d'identifier le suspect, qui est déjà connu des services de police. Les enquêteurs ont retrouvé ses empreintes digitales sur la fenêtre de la victime.

Deux jours après les faits, les éléments de la police ont réussi à arrêter le violeur à la gare d'Argenteuil (Val-d'Oise). Âgé de 22 ans et de nationalité algérienne, le suspect est placé en garde à vue dans les locaux parisiens de la PJ. Durant ses premières auditions, il nie les faits avant de passer aux aveux, estimant qu'il a commis ce viol sous la mauvaise influence de l'alcool. Il a été mis en examen pour « viol et vol sous la menace d'une arme », le vendredi 11 août à Paris, avant d'être écroué.

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