Un Algérien sans-papier accusé d'agression sexuelle contre 4 jeunes filles à Saint-Nazaire

Un Algérien poignardé à la sortie d'une discothèque à Lyon

Il n'y a pas que des héros algériens qui sauvent des personnes âgées et des enfants en France et en Europe. Il y a également des délinquants qui commettent toute sorte de crimes et d'infractions qui les mènent directement vers la justice et la prison, et probablement l'Obligation de quitter le territoire français (OQTF).

C'est ce qui s'est passé cette semaine à Saint-Nazaire, petite ville de la Loire Atlantique, non loin de Nantes, et ce, en marge du festival de musique « Bouge ». Plusieurs médias français ont rapporté l'interpellation difficile d'un Algérien, un sans-papier qui se dit mineur, accusé d'agression sexuelle contre quatre jeunes filles venues assister à la manifestation en question.

Selon les comptes rendus des médias, les faits se sont passés dans la nuit du 25 juin, aux alentours de 00 h 45. Les éléments de la police municipale de Saint-Nazaire ont interpellé un jeune homme en marge du festival de musique Bouge. Selon des témoignages, l'Algérien, interpellé avec une grande difficulté, venait d'agresser sexuellement 4 jeunes spectatrices.

L'Algérien interpellé a été maîtrisé grâce à un chien de la police

Les médias français n'ont pas précisé la nature de cette agression sexuelle, mais ils ont affirmé que l'interpellation était tellement difficile que les policiers ont fait appel à une brigade canine. Ils n'expliquent pas non plus ce que le chien de cette brigade a fait pour maîtriser l'individu qu'on dit agité et alcoolisé, récalcitrant et ayant proféré des insultes et autres menaces de mort envers les policiers.

Après son interpellation, l'assaillant présumé a été présenté à la justice pour plusieurs chefs d'accusation, notamment agression sexuelle sur mineur, menaces de mort envers des policiers et séjour irrégulier sur le territoire français. Les enquêteurs comptent même vérifier s'il est réellement mineur et sans domicile fixe (SDF), comme il l'a déclaré aux éléments de la police, dont deux (un municipal et un autre national) ont déposé plainte contre lui pour insultes et menaces de mort.

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